Les députés nous disent qu'ils ont réformé leur propre régime de retraites, mais ils refusent d'intégrer le régime général des salariés du privé. Ils conservent encore un régime spécial privilégié avec une retraite garantie à 100% par l'Etat. Nos élus doivent nous montrer l'exemple. Exigeons l'équité !
Voir la campagneIls défendent la retraite à 60 ans, mais ils partent à 50 ou 55 ans... Ils disent que 62 ans, c'est trop... mais ils ne partiront qu'à 52 ou 57 ans en... 2023 ! Ils prétendent parler pour tous les Français... Mais ils bénéficient de régimes spéciaux ultra avantageux.
Voir la campagnePour "sécuriser" le système de retraite beaucoup plus avantageux des fonctionnaires contractuels (ircantec), l'Etat va siphonner les caisses de retraite complémentaire des salariés du privé (Agirc-Arrco). C'est de la solidarité... inversée !
Voir la campagneLes retraites du public, malgré la réforme Fillon, restent extrêmement privilégiées par rapport à celles des autres Français. Il n’est plus tenable d’avoir, d’un côté, des Français du privé avec une retraite qui baisse de plus en plus ; et de l’autre, des agents de la fonction publique, dont la retraite est garantie à 75 % de leur dernier salaire, grâce aux impôts et cotisations payés par les premiers.<
Voir la campagneA l'occasion du changement de statut de La Poste, l'Etat s'apprête à "sécuriser" le régime de retraite complémentaire de ses agents contractuels et des élus locaux, l'Ircantec. Comment ? En siphonnant les caisses de retraite complémentaire du privé, Agirc-Arrco. Or, l'Ircantec sert des retraites beaucoup plus généreuses et demande des cotisations bien moindres à ses affiliés. De plus, l'Agirc-Arrco est dans le rouge et doit donc utiliser ses réserves.
Voir la campagneLes retraites des fonctionnaires, malgré la réforme Fillon d'août 2003, restent extrêmement avantageuses par rapport à celles des autres Français. Notre tableau comparatif, en pleine page, est paru dans les médias cités ci-dessous.
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